Vitamine C

La vitamine C est une vitamine hydrosoluble sensible à la chaleur ainsi qu'à la lumière.



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Définitions :

  • Biochimie, médecine biologique - N. f. * vita : du latin vita, vie ; * amine : les amines sont des dérivés de méthylamine qu'on... (source : georges.dolisi.free)
Vitamine C
Structure chimique de la vitamine CModèle 3D de la molécule
Général
No CAS 50-81-7
No EINECS 200-066-2
SMILES
InChI
Propriétés chimiques
Formule brute C6H8O6  [Isomères]
Masse molaire 176, 1241 gmol-1
C 40, 92 %, H 4, 58 %, O 54, 5 %,
pKa 4.7 (10 °C)
Propriétés physiques
T° fusion 190 à 192 °C (décomposition)
Solubilité 333 g/L (eau, 20 °C)
Précautions
Directive 67/548/EEC
Phrases S : 24/25,
Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire.

La vitamine C est une vitamine hydrosoluble sensible à la chaleur ainsi qu'à la lumière.

Chimiquement parlant, il s'agit de l'acide L-ascorbique et de ses sels, les ascorbates (les plus courants étant les ascorbates de sodium et de calcium).

Action

La vitamine C est un cofacteur enzymatique impliqué dans un certain nombre de réactions physiologiques (hydroxylation). Elle est requise dans la synthèse du collagène et des globules rouges et contribue au dispositif immunitaire. Elle joue aussi un rôle dans le métabolisme du fer comme promoteur de son absorption; son utilisation est par conséquent déconseillée chez les patients porteurs d'une surcharge en fer et spécifiquement d'une hémochromatose. Sous forme oxydée, elle traverse la barrière hémato-encéphalique pour accéder au cerveau[1] ainsi qu'à plusieurs organes à forte concentrations de vitamine C. C'est un antioxydant, molécule capable de contrer l'action néfaste d'oxydants comme les radicaux libres. À cet effet, on emploie aussi la forme D- (Dextrogyre) de l'acide ascorbique qui, à l'inverse de la forme L- (Levogyre), ne présente pas d'activité vitaminique.

Conservation

Très fragile en solution, elle est détruite au contact de l'air (par oxydation) ou sous l'exposition à la lumière (par action des ultraviolets). Ces dégradations seront accélérés par une température plus haute. Cependant, la chaleur seule ne détruit la vitamine qu'à l'approche de la température de fusion à 190 °C.

Synthèse

Tandis que la majorité des mammifères sont capables de la synthétiser dans leur foie ou dans leurs reins (ce n'est par conséquent pas une vitamine pour eux), la majorité des primates (dont l'être humain), le cochon d'Inde et certains oiseaux ou poissons en sont incapables. Ceci est le résultat d'une mutation génétique, survenue il y a 40 millions d'années, bloquant la transformation du glucose en acide ascorbique. Les animaux dépourvus de cette capacité de synthèse de la vitamine C doivent par conséquent la puiser dans leur alimentation.

Apports Journaliers Recommandés
Article détaillé : Apports nutritionnels conseillés.

Les recommandations européennes conseillent un apport quotidien de 75 mg pour la femme et de 90 mg pour l'homme. A titre d'exemple, une orange apporte en moyenne 53 mg de vitamine C (40 à 80 mg par 100 g).

En France, L'AFSSA recommande un apport journalier de 110 mg pour un adulte de 20 à 60 ans[2]. Les personnes exposées davantage aux effets nocifs des oxydants, comme les fumeurs, ont des besoins accrus en vitamine C[3]. Certains auteurs (Pauling) considèrent que les apports nutritionnels recommandés devraient être d'au moins 200 mg, ou alors 500 mg[4].

Pour des doses supérieures à 500 mg/j, une augmentation de production d'acide oxalique pourrait induire un risque de calculs rénaux d'oxalate[5], [6]. Cet effet secondaire est controversé par certaines études[7]. En effet, les végétaux qui apportent de la vitamine C apportent aussi des oxalates[8], d'où la confusion.

Chez les primates, des observations font état d'une consommation quotidienne de 2 000 à 8 000 mg par jour[9].

Carence

Une importante carence en vitamine C, particulièrement rare, provoque le scorbut, quand l'apport est de moins de 10 mg par jour. Les hypovitaminoses plus discrètes sont particulièrement répandues et se traduisent par de l'asthénie, un amaigrissement, des maux de tête, des douleurs osseuses, une plus grande sensibilité aux infections et quelquefois des problèmes hémorragiques. [10]

Toxicité

Non toxique. A fortes doses (plusieurs grammes par jour), seuls quelques effets secondaires bénins peuvent peut-être apparaître.

Depuis sa synthèse dans les années 1930, la vitamine C est utilisée à toutes doses à travers le monde. Les seuls effets secondaires associés à son utilisation et qui soient établis sont la diarrhée bénigne et une action diurétique. Celles-ci surviennent quand elle est consommée trop rapidement et en trop grande quantité. L'organisme ne pouvant la stocker, il en élimine ainsi l'excès.

Des études cliniques montrent :

Les études in vitro montrent que la vitamine C, même en présence de métaux de transition n'a pas d'effet mutagène et qu'au contraire elle protège les cellules de l'action mutagène du peroxyde d'hydrogène[17].

Usages thérapeutiques

Comme traitement médical, la vitamine C a quelques indications reconnues[18] : la prévention ou le traitement du scorbut, l'avitaminose C, la méthémoglobinémie idiopathique du nourrisson et la méthémoglobinémie chez les sujets déficients en G6PD.

Il s'agit d'une molécule utilisée fréquemment en automédication : plus de 10% des américains en consomment[19].

Utilisation en médecine orthomoléculaire
Article détaillé : médecine orthomoléculaire.

La médecine orthomoléculaire prônée surtout par Linus Pauling, prix Nobel de chimie, et Matthias Rath, recommande une consommation de vitamine C de 3 à 18 g par jour[20] [21]qui peut être augmentée en cas de maladie, en se basant sur les premiers travaux d'Irwin Stone sur le scorbut et les besoins de l'organisme humain en acide ascorbique. Linus Pauling a étudié le rôle de la vitamine C dans la prévention du rhume et le traitement du cancer. Cette vitamine, administrée «sous une forme correcte, au moyen de techniques appropriées, en doses suffisamment habituelles, en doses suffisamment élevées, en conjonction avec certains agents et pour une période suffisante»[22], serait capable de prévenir voir de guérir la plupart de maladies, surtout la grippe[23], le cancer[24], [25] ou les maladies coronariennes[26]. Ces hypothèses n'ont pas été confirmé par d'autres études qui plus est grande ampleur et plus récentes, que ce soit pour la grippe[27], [28], pour le cancer[29], [30] ou pour les maladies cardio-vasculaires[31].

Synthèse du cholestérol

Une étude datant de 1986 indique que la vitamine C pourrait avoir un rôle important dans la régulation de la synthèse du cholestérol[32].

Synthèse du glutathion

La vitamine C permettrait d'augmenter les taux de glutathion des cellules sanguines[33]. Le glutathion serait un élément indispensable à la détoxification cellulaire : il permettrait de désintoxiquer divers polluants, cancérigènes et poisons, incluant plusieurs répertoriés dans les échappements de carburant et la fumée de cigarette. Il retarderait des dommages des radiations tel que ceux rencontrés suite à la diminution de la couche d'ozone. Pour certains, cela confirmerait l'effet anti-cancer supposé de la vitamine C.

Vitamine C et plomb

En 1939, on a signalé que 34 travailleurs ayant absorbé du plomb avaient été traités au moyen de la vitamine C[34]. Il y a peu de temps, une étude sur des animaux a montré que la vitamine C avait un effet protecteur contre l'intoxication au plomb sur les plans des fonction nerveuses et musculaires[35]. Chez des fumeurs, l'administration de 1000 mg de vitamine C a permis une réduction moyenne de 81 % des concentrations sanguines de plomb, alors que 200 mg sont restés sans effet. Les auteurs ont par conséquent conclu que la supplémentation de vitamine C pourrait représenter une façon économique et pratique de faire baisser les concentrations de plomb dans le sang. Le journal de l'association médicale américaine a publié une étude concluant que l'association inverse entre le plomb et la vitamine C dans le sang, telle que constatée dans une enquête d'envergure nationale, s'il était démontré qu'elle est causale, aurait un impact sur le plan de la santé publique généralement[36].

Autisme

Selon des études réalisées en 1967 et 1993 une supplémentation en vitamine C diminuerait la sévérité des symptômes chez les enfants atteints d'autisme, mais la posologie optimale reste à déterminer[37].

Traumatologie

La naissance du syndrome de défaillance multiviscérale, qui pour les traumatologues est un des principaux signes annonciateurs du décès[38], apparaît moins fréquemment chez les patients recevant de la vitamine C; cette vitamine diminue aussi les durées de séjours aux soins intensifs[39].

Fertilité

Chez des hommes infertiles, on a montré qu'un supplément de vitamine C perfectionnait la qualité du sperme (morphologie et mobilité des spermatozoïdes) et augmentait le nombre de spermatozoïdes[40].

Syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA)  : études préliminaires

Une des maladies dont le traitement éventuel par des doses pharmacologiques d'ascorbate est le plus controversé est le SIDA. La controverse dure depuis plus de 16 ans, c'est-à-dire depuis la publication d'une étude montrant que l'ascorbate, en doses non-toxiques pour l'homme, arrêtait la réplication du VIH, dans le journal les Proceedings of National Academy of Sciences des États-Unis[41]. D'autres études ont suivi et ont étayé ces résultats[42], [43], [44], mais aucune étude clinique d'envergure n'a été entreprise.

Cancer

Dans le cadre du traitement contre le cancer, Linus Pauling s'inspirant des travaux d'Irwin Stone, donne l'idée d'un apport en acide ascorbique bien plus important que suggéré par les AJR (de l'ordre de 10 à 20 g par jour). Cette théorie est reprise par d'autres scientifiques, dont Matthias Rath. Un effet favorable semble exister chez les cultures cellulaires ou chez des animaux, surtout une inhibition de la prolifération cellulaire [45] mais aucune preuve satisfaisante n'existe chez l'être humain à titre curatif[46] ou préventif[47] [48]. La Société Suisse de lutte contre le cancer souligne, surtout, les faiblesses du dossier scientifique de Matthias Rath[49].

Mort subite du nourrisson

Le médecin australien Archie Kalokerinos, supporter des thèses de Linus Pauling sur la médecine orthomoléculaire et la vitamine C, émet en 1981 l'hypothèse que la forte mortalité infantile observée chez les enfants aborigènes, et surtout la mort subite du nourrisson, seraient dues à un manque de vitamine C et par conséquent au scorbut. Et que cette mortalité serait qui plus est aggravée par les vaccinations[50]. Cette hypothèse n'a depuis jamais été validée par la communauté scientifique.

Poliomyélite

Le docteur américain Claus Washington Jungeblut avait émis en 1935 l'hypothèse que la vitamine C puisse inactiver le virus de la poliomyélite. Il publia une série de papiers entre 1936 et 1939 dans lesquels il montrait que l'administration d'acide ascorbique chez des singes infectés diminuait la sévérité de la maladie. Albert Sabin, en collaboration avec Jungeblut, essaya de reproduire ces résultats mais n'y parvint pas, ce qui mit un terme à cette voie de recherche[51].

Maladie de Charcot-Marie-Tooth

Des quantités entre 1000 mg et 3000 milligrammes par jour (fractionnées en plusieurs prises du fait d'un risque de toxicité rénale) sont proposées à titre d'essai thérapeutique dans le traitement d'une maladie neurologique héréditaire, la maladie de Charcot-Marie-Tooth type 1A [52]. L'essai clinique mené chez ces patients n'a pu être envisagé qu'après la réalisation d'un essai pré-clinique, mené sur un modèle murin de la maladie montrant des résultats encourageants[53].

Autres

La prise de vitamine C pourrait diminuer le risque de survenue de goutte[54].

La vitamine C, injectée précocément par voie intraveineuse, est membre du traitement de l'intoxication phalloïdienne proposé par le docteur Pierre Bastien[55].

Les maladies liées à l'âge et les dysfonctionnements immunitaires qui y sont associés pourraient, être limités par l'absorption de suppléments de vitamine C[56].

Une idée reçue voudrait que la vitamine C empêche de dormir mais c'est faux[57].

Tolérance intestinale

La tolérance intestinale sert à désigner la quantité de vitamine C qui peut être absorbée par l'intestin dans un temps donné[58]. Quand cette quantité est atteinte, la vitamine C non absorbée est éliminée dans les selles. Durant son trajet, elle attire de l'eau dans l'intestin ce qui produit une diarrhée passagère. Ceci est une des raisons pour lesquelles on ne peut pas s'intoxiquer avec de la vitamine C.

Les quantités produites par les animaux fluctuent selon leur état de stress et santé ; un animal stressé ou malade peut produire plusieurs dizaines de grammes par jour. On peut mettre en parallèle cette production variable d'ascorbate chez les animaux avec la variabilité de la tolérance intestinale chez l'être humain. Quand un humain est malade ou stressé, sa tolérance intestinale à la vitamine C augmente, ce qui lui permet d'absorber plus de vitamine C qu'en temps normal. La variabilité de la tolérance intestinale suggère un besoin accru de l'organisme en vitamine C dans les périodes de stress ou de maladies, comme on l'observe chez les animaux qui synthétisent la vitamine C.

Histoire

Production

La production mondiale annuelle d'acide L-ascorbique est de 80 000 tonnes[60], dont la moitié est utilisée dans les industries pharmaceutiques et parapharmaceutiques, 25% dans l'agroalimentaire comme conservateur (E300, E301, E302), 15% dans la fabrication de boissons, le reste étant utilisé pour la nutrition des animaux.

Chez les végétaux, la synthèse de la vitamine C a lieu indifféremment dans l'ensemble des cellules de la plante. Les fruits de l'argousier sont exceptionnellement riches en vitamine C.

Chez les animaux qui en sont capables, la synthèse a lieu surtout dans le foie, mais l'ensemble des autres cellules en ont la capacité, qui reste cependant particulièrement limitée.

Teneurs en vitamine C

Les teneurs ci-dessous sont des valeurs moyennes qui peuvent fluctuer notablement selon les variétés des fruits et légumes indiqués.

Aliment Teneur
(mg/100 g)
Camu-camu, une baie d'Amazonie 2 400 - 3 000[61]
Lycium (Baie de Goji) 2 500
Terminalia ferdinandiana + 2 000
Acérola, une petite cerise du Brésil 1 000 - 2 000[62]
Baie d'églantier ou Cynorrhodon 750 - 1 600
Argousier 750
Amla, ou «groseille indienne» 720
Goyave 243[63]
Cassis 200[63]
Persil 170[63]
Navet 139
Oseille 124
Poivron rouge, estragon, chou vert 120
Fenouil, piment 100
Kiwi 80[63]
Chou de Bruxelles ou rouge 75
Citron 65
Fraise[63], orange, chou-fleur, cresson, cerfeuil 60
Épinard, mâche 50
Pomme de terre 15 [63]
Cerise 10
Miel 0.5

Références

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